Clito de cire

Il s'en passe des choses à la Niche. Entre 2 pipes et 3 sodomies Ma Maîtresse adore jouer avec certaines parties de mon anatomie. Ce jour là elle a jeté son dévolu sur mon clito. Je ne sais pas encore ce qui m'attend. Assise sur le canapé, pinces à tétons et les yeux bandés, j'ouvre les cuisses comme toute bonne salope. Soudainement, je ressens une douleur très localisée, une sensation furtive de piqure. C'est bref et intense. Je reconnais instantanément l'effet de la cire de bougie chaude, qui goute à goute, commence à recouvrir mon sexe. Les effets sont de plus en plus rapprochés. La douleur varie jusqu'à complètement disparaître au fur et à mesure que la cire s'écoule sur ma petite queue, jusqu'à l’envelopper entièrement d'une carapace, qui ne va pas tarder à sauter sous l'effet de la cravache.

 

Premiers sévices

Le palier de la porte passé, devant moi se tient une femme sensuelle, sûre de ses charmes et dont l'aura respire l'autorité. Un regard sévère et froid me toise des pieds à la tête. Une voix voluptueusement directive me dicte des consignes claires et sans ambigüité: je sais d'entrée de jeu où est ma place. Je ne vais pas rigoler. Passage par la case salle de bain pour quelques ablutions, et me voici à ses pieds, transpirant à grosses goutes malgré la climatisation. Elle m'enfile une cagoule, et à cet instant tout s'enchaine sans que je puisse vraiment me rendre compte de ce qui se passe. Le temps s'arrête, je ne sais plus où j'habite. Je suis transportée, dressée comme je l'ai rarement été. Suffocant sous la cagoule, je subit. Cravache, bondage, cire... tout y passe. Puis arrive le moment où je respire à nouveau normalement, la tête libérée de son carcan de cuir. Je reprends petit à petit mes esprits avant d'être dirigée sur le canapé,  à quatre pattes, comme une chienne. Je lui offre ma croupe. Sans ménagement, elle me défonce la chatte au gode ceinture. Le coup de rein est vigoureux, les coups de boutoirs m'arrachent des feulements. Je couine... Jamais je n'ai été baisée de la sorte par quelques mecs que ce soit. A cet instant, je tombe amoureuse d'elle. C'est le début de notre histoire...

La Niche

C'est à la Niche, où, le 7 juin 2014, je suis convoquée pour la première fois. Il y règne une atmosphère de bien être qui contraste avec le ton et le regard sévère de la Maîtresse des lieux. Elle m'y accueille dans une ambiance feutrée et intimiste. Un fond sonore envoutant rythme la danse des flammes des bougies, dont l'utilité première n'est pas forcément celle de nous éclairer. La Niche, c'est le lieu où je me sens la plus en confiance auprès d'elle. Elle m'y façonne avec patience, me transforme, m’épanouis.